Via Montpellier

1992 - 2000
Les bus de la SMTU adoptent la ligne "écomobile" dans Montpellier et son Distric

Le réseau de bus devient écomobile

Juin 1992 : l'appelation "Montpellier écomobile"

La ville de Montpellier adopte dans sa communication l’appelation « écomobile » à partir de juin 1992. L’écomobilité désigne, selon la municipalité, le fait de se déplacer simplement de façon économique et écologique par différents moyens (transports en commun, vélos, à pied). Ainsi, la ville de Montpellier souhaite mettre à disposition de chaque habitant une solution de mobilité adaptée. Cela va se traduire en centre-ville par une révision du plan de circulation des bus pour libérer de l’espace aux piétons sur le rue Maguelone par exemple. 

Edito de Georges Frêche sur l'écomobilité dans "Montpellier Notre Ville" n°154 de juin 1992. Source : ville de Montpellier

Juillet 1992 : le nouveau réseau de bus

A partir du 9 juillet 1992, le réseau de bus de la SMTU se restructure complètement, à la fois au niveau de certains quartiers comme les Près d’arènes ou la Croix d’Argent mais aussi dans la desserte du centre-ville. L’objectif de cette opération baptisée « Montpellier écomobile » est de simplifier la desserte de certains quartiers pour pouvoir proposer plus de passages et améliorer la desserte du centre-ville.

A cette date, la ligne 1 est limitée à la Gare et retrouve son parcours initial d’avant l’ouverture de l’axe prioritaire entre la Gare et la Place de l’Europe à Antigone. La desserte d’Antigone étant reprise par la ligne 2 pour offrir une relation directe entre la future faculté de droit de Richter à Port-Marianne et les autres universités situées au nord de la ville. La ligne 19, reliant par la voie rapide de l’avenue de la Liberté la Paillade à la Gare, est renumérotée ligne 14 et prolongée jusqu’au Pont-Juvénal.

Journal "Montpellier Notre Ville" n°155 de Juillet 1992. Source : ville de Montpellier

Les nouvelles lignes du réseau desservant Montpellier au 9 juillet 1992 sont numérotées ainsi : 

  • Ligne 1 : Paillade (Gênes) – Gare 
  • Ligne 2 : Paillade (Piscine) – Gare – Pont Juvénal
  • Ligne 3 : Alco – Gare – Tournezy
  • Ligne 4 : Val de Crozes – Gare – Castelnau-le-Lez
  • Ligne 5 : Agropolis Lycée / Agropolis Lavalette – Gare – Mas de Bagnères / Garosud
  • Ligne 6 : Plan des 4 Seigneurs – Gare – Pas du Loup
  • Ligne 7 : Saint-Priest – Gare – Les Bouisses / La Martelle 
  • Ligne 8 : La Rauze – Gare – Les Aubes
  • Ligne 9 : CES La Paillade – Gare – Pompignane
  • Ligne 10 : Celleneuve – Gare 
  • Ligne 11 : Blaise Pascal – Gare – Aiguelongue 
  • Ligne 12 : Les Près d’arènes – Gare – Grammont
  • Ligne 14 : Hauts de la Paillade – Gare – Pont Juvénal 
  • Petibus Antigone 

Les lignes suburbaines n’ont de différent que la desserte dans Montpellier mais ont les mêmes terminus : 

  • Ligne 17 : Montpellier Gare Routière – Palavas-les-Flots
  • Ligne 18 : Montpellier Gare Routière – Lattes
  • Ligne 20 : Le Crès – Gare – Saint-Jean-de-Védas
  • Ligne 21 : Montpellier Gare Routière – Gare
  • Ligne 22 : Montpellier Gare – Clapiers / Jacou
  • Ligne 23 : Montpellier Gare Routière – Montferrier-sur-Lez – Prades-le-Lez
  • Ligne 24 : Montpellier Gare Routière – Grabels
  • Ligne 25 :  Montpellier Gare Routière – Juvignac
  • Ligne 26 : Montpellier Gare Routière – Saint-Jean-de-Védas
  • Ligne 27 : Montpellier Gare Routière – Maurin
  • Ligne 28 : Montpellier Gare Routière – Pérols
  • Ligne 29 : Montpellier Gare Routière – Baillargues

Les modifications du réseau pour le quartier de la Croix d'Argent

Avant la restructuration, le quartier est desservi par la ligne 2 sur l’avenue de Toulouse jusqu’au Pas du Loup, par la ligne 5 au niveau de Lemasson et par la ligne 14 jusqu’aux Sabines par l’avenue de Maurin.

Avec la restructuration, la ligne 14 est supprimée et ses dessertes sont assurées par la ligne 5 qui est prolongée jusqu’aux Sabines et Garosud. La ligne 2 est remplacée par la ligne 6 pour la desserte de l’Avenue de Toulouse jusqu’au Pas du Loup au lieu de desservir les Près d’arènes.

Les modifications du réseau pour le quartier Près d'Arènes

Avant la restructuration, le quartier est desservi par les lignes 3 et 6 sur l’avenue de Palavas, la première continuant jusqu’à Tournezy et la deuxième remontant ensuite l’avenue des Près d’Arènes. Les lignes 8 et 12 assurent quant à elles une desserte fine du quartier.

Après la restructuration, la ligne 6 ne dessert plus les Près d’Arènes, mais l’avenue de Toulouse. L’Avenue des Près d’Arènes est desservi  par le prolongement de la ligne 12 depuis son terminus de la cité Saint-Martin.

Les modifications dans l'est de la ville

Avant, la restructuration, la rive gauche du Lez est desservie par trois lignes :

  • la ligne 8 qui dessert les Aubes et la Pompignane,
  • la ligne 11 qui dessert l’avenue de la Pompignane, le quartier du même nom et Blaise Pascal,
  • la ligne 15 qui relie directement la Gare et le site de Grammont.

Avec, la restructuration la ligne 15 est supprimée et remplacée par la ligne 12 qui dessert alors Grammont par l’avenue Pierre Mendès France. La ligne 11 ne remonte plus par la Pompignane pour desservir Blaise Pascal. La desserte de l’avenue de la Pompignane est reprise par la ligne 9 qui est prolongée depuis la gare jusqu’à la Pompignane.

La desserte du centre-ville est revue

La desserte du Centre-Ville est organisée selon un nouveau schéma à partir du 9 juillet 1992 pour l’ensemble des lignes de bus. Ce schéma de desserte comprend plusieurs circuits. La desserte de la Comédie se fait à sens unique par le boulevard Victor Hugo et la Rue Maguelone qui n’est parcourue qu’en direction de la Gare.

Le premier circuit pour les lignes 2 et 9 dessert dans les deux sens l’axe prioritaire entre Antigone et la Gare puis réalise le tour du centre-ville par le Tunnel de la Comédie, l’Allée de la Citadelle, Boulevard Louis-Blanc, Boulevard Paster, Boulevard Henri IV et le Jeu de Paume. (tracé noir sur la carte ci-dessous).

Le deuxième circuit pour les lignes 1 et 14, dessert Le cours Gambetta, la Gare et Antigone par l’axe prioritaire (tracé rouge sur la carte ci-dessous). Néanmoins la ligne 14 n’emprunte pas le cours Gambetta mais l’avenue Georges Clémenceau.

Le troisième circuit pour les lignes 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 11 réalise une grande boucle à sens unique passant par la Gare, Antigone, les Avenue Jean Mermoz, les boulevards Louis-Blanc, Pasteur, Henri IV et du Jeu de Paume (tracé bleu sur la carte ci-dessous).

Seuls les lignes 10 et 12 réalisent un parcours différent dans le centre-ville.

Nouveaux tracés en centre-ville dans "Montpellier Notre Ville" n°154 de Juin 1992. Source : Ville de Montpellier

Septembre 1992 : le deuxième axe prioritaire en partie ouvert

Après l’ouverture du premier axe prioritaire pour autobus entre Plan Cabanes et la place de l’Europe à partir de 1987, un deuxième axe prioritaire pour autobus est imaginer pour relier les Hôpitaux et les Universités au centre-vile , à Antigone et aux futurs quartiers de Port-Marianne et du Millénaire où doit être installé la faculté de droit et de gestion. Au niveau du centre-ville, l’axe prioritaire forme large boucle à sens unique dans le sens anti-horaire qui dessert tous les pôles d’attractivités tel que le Peyrou, la Gare, la place de la Comédie, les lycées Joffre et Mermoz et le Corum. 

Plan du second axe prioritaire pour autobus. Source : document SMTU

La réalisation du deuxième axe prioritaire se déroule en trois phase. La première phase concerne la réalisation de l’axe autour du centre-ville. Cette porition a ouverte en juillet 1992 avec la restructuration du réseau de bus. La deuxième section allant des quartiers des hôpitaux à la place Albert 1er ouvre en septembre 1992. Ce deuxième segment de l’axe est alors emprunté par les lignes 2, 5, 6 et 23.  

Article sur le deuxième axe prioritaire pour autobus dans "Montpellier Notre Ville" n°157 d'octobre 1992. Source : ville de Montpellier

Octobre 1994 : le deuxième proritaire jusqu'à Richter

Le jeudi 6 octobre 1994, la dernière tranche du second axe prioritaire est inaugurée avec trois nouveaux arrêts jusqu’au nouveau terminus avenue Marie de Montpellier, où se trouve l’actuelle station de tramway « Port-Marianne ». La ligne 2 du réseau de la  SMTU est donc prolongée du Pont-Juvénal à son nouveau terminus « Faculté de droit et de sciences économiques ».

Article dans "Midi Libre" du 7 octobre 1994. Source : viamontpellier.fr

Le Petibus remplaçant du Guilhem

Septembre 1992 : la première ligne de Petibus

Le Petibus est la nouvelle ligne de bus dédiée uniquement au centre-ville. Ce nouveau service relie dès le 7 septembre 1992 Antigone, la Gare, la Comédie, la Préfecture, le Corum et l’esplanade. Cette ligne remplace le Guilhem (ligne 16) qui a cesser de fonctionner le 8 juillet 1992 à la veille de la restructuration du réseau. Cette ligne au même titre que les autres lignes du réseau SMTU nécessite un titre de transport payant.  

Pour exploiter la ligne, de nouveaux véhicules à petit gabarit et roulant au GPL ont été acheté par le District. 

Journal "Montpellier Notre ville" n°157 d'Octobre 1992. Source : ville de Montpellier
Petibus mode d'emploi dans "Montpellier Notre Ville" n°157 d'Octobre 1992. Source : ville de Montpellier

Décembre 1994 : la deuxième ligne de Petibus

Le 3 décembre 1994, une deuxième ligne de Petibus est mise en circulation entre Antigone et la place Albert 1er. Cette ligne possède un tronc commun avec la première ligne entre Antigone et la Gare avec un Petibus toutes les 4 minutes. Cette seconde ligne vers Albert 1er est alors nommée « Petibus Vert » et la première ligne  vers l’esplanade « Petibus bleu ». 

Seconde ligne du Petibus dans "Montpellier Notre Ville" n°180 de décembre 1994. Source : ville de Montpellier

Courant 1996 : le Petibus se réduit

En 1996, le « Petibus bleu » reliant Antigone au centre-ville  par l’esplanade est supprimée. Le « Petibus vert » continue d’être exploité mais sera modifiée avec les travaux de la ligne du tramway dès 1998. En effet, avec la fermeture de l’axe prioritaire entre Antigone et la Gare et les travaux sur les boulevards au nord de l’écusson, le Petibus réalise une boucle uniquement entre la Gare et le Palais de Justice (au niveau de l’arc de triomphe et de la place du Peyrou) en passant par la Comédie dans un sens et la rue Saint-Guilhem dans l’autre. 

Les travaux de la ligne 1 du tramway

Juillet 1995 : le District choisit le tramway

Le retour du tramway a été approuvé en 1995 par le District de Montpellier. La ligne doit relier la Paillade à Port-Marianne pour l’an 2000 et remplacement de la ligne n°2 du réseau de la SMTU. Le tracé prévisionnel du projet reprend exactement celui de l’axe prioritaire avec un terminus au niveau de la faculté de droit et de sciences économiques. Le tracé par le Jeu de Paume semble pour l’heure préféré pour relier la place Albert 1er et la Gare de Montpellier. 

Mai 1997 : la ligne 1 déclarée d'utilité publique

Le 30 mai 1997, la ligne 1 du tramway est déclarée d’utilité publique. Cette déision administrative permet à la ville de réaliser travaux de construction de la ligne et de procéder aux achats fonciers nécessaire pour permettre le passage du tramway dans les différentes rues. Le tracé définitif au centre-ville passera par le Corum entre la place de la Comédie et la place Albert 1er. Le terminus est de la ligne 1 sera dans le futur quartier d’Odysséum.

Couverture du journal "Puissance 15" n°133 de Juin/Juillet 1997. Source : Georges Frêche l'association

Août 1997 : fermeture de l'allée de la Citadelle

Les travaux sont lancés en 1997 et impacte le réseau de bus surtout en centre-ville. Dès le 28 aout 1997, l’allée de la Citadelle est fermée totalement à la circulation. Les travaux devront réaliser un ouvrage d’art au-dessus de la ligne de tramway pour les automobiliste débouchant du tunnel de la Comédie et voulant rejoindre le faubourg de Nîmes. Ainsi, dès cette fermeture, les lignes 2 en direction de Mosson et la ligne 9 en direction du Professeur J. Blayac (le terminus étant nommé auparavant CES La Paillade ou LEP La Paillade) sont déviées entre la Gare et le Corum, les lignes réempruntent l’axe prioritaire vers Antigone puis l’avenue Jean-Mermoz.

Juillet 1998 : l'axe prioritaire ferme dans le sens Antigone vers la gare

Le 16 juillet 1988, l’axe prioritaire entre Antigone et la Gare est fermée à la circulation des autobus dans le sens Antigone vers la Gare. De ce fait, les lignes 2, 9 et 10 sont détournées par le boulevard de Strasbourg. De plus, les parcours sont modifiées au niveau de Saint-Eloi pour les lignes 2 et 10 compte-tenu de l’avancée des travaux et le terminus « Fac de Droit, sciences économiques et de gestion » dans le quartier Port-Marianne est déplacée.

Août 1998 : le Jeu de Paume à contre-sens

Le 31 aout 1988, les bus desservent le Jeu de Paume dans les deux sens. En effet, une voie réservée aux bus est aménagée à contresens pour permettre aux bus venant de la gare de remonter le boulevard en direction de la place Albert 1er au lieu de faire le tour par l’avenue Jean Mermoz. Cet aménagement réalisé pour palier à la fermeture totale prévue de l’axe prioritaire permet aux lignes 2 et 5 de gagner jusqu’à 10 minutes de temps de parcours en direction du nord de la ville. 

La voie bus à contre-sens du sens normal de la circulation est alors empruntée par :

  • la ligne 2 direction Mosson,
  • la ligne 3 direction Alco,
  • la ligne 5 direction Agropolis,
  • la ligne 7 direction Saint-Priest,
  • la ligne 9 direction Professeur Blayac.

L’axe prioritaire reliant la gare à Antigone, reste temporairement emprunté par quelques lignes urbaines du réseau : 

  • la lignes 4 direction Castelnau-le-Lez,
  • la ligne 6 direction plan des 4 Seigneurs,
  • la ligne 8 direction Mas de Rochet,
  • la ligne 10 direction Celleneuve,
  • la ligne 11 direction Aiguelongue.

Ces bus biffurquent alors vers l’avenue Jean-Mermoz en direction des quartiers situés au nord du centre-ville (les Aubes, les Beaux-Arts, le plan des 4 Seigneurs).  Les lignes 2 et 9 vers l’est et 20, 21, 22 et 29 vers les communes du District empruntent également l’axe prioritaire jusqu’à se fermeture définitive.

Article du journal "La Gazette de Montpellier" n°543

Septembre 1998 : l'axe prioritaire ferme complètement entre la Gare et Antigone

Le 29 septembre 1998, l’axe prioritaire est totalement fermée à la circulation, les dernières lignes (2, 4, 6, 8, 9, 10, 20, 21, 22, 29)qui empruntaient cette infrastructure passent désormais sous la Comédie par le tunnel puis par le boulevard d’Antigone et la Rue de Crète après avoir desservi la gare.

Article dans le journal "Midi Libre" du 30 septembre 1998.

Septembre 1999 : le réseau de la SMTU à la veille de l'arrivée du tramway

Avant de devenir TaM (Transports de l’agglomération de Montpellier) et de mettre en place un nouveau réseau de bus autour de la première ligne de tramway, le réseau de la SMTU se compose de 27 lignes : 

  • ligne 1 : Pierre de Coubertin – Gare
  • ligne 2 : Mosson – Gare – Port-Marianne
  • ligne 3 : Alco – Gare – Tournezy
  • ligne 4 :Val de Crozes – Gare – Castelnau-le-Leez (Les Aires) / Castelnau-le-Lez (Lycée Georges Pompidou)
  • ligne 5 : Agropolis Lycée / Agropolis Lavalette – Gare – Garosud / Mas de Bagnères 
  • ligne 6 : Pas du Loup – Gare – Plan des 4 seigneurs 
  • ligne 7 : Saint-Priest – Gare – Les Bouisses / La Martelle 
  • ligne 8 : La Rauze – Gare – Mas de Rochet 
  • ligne 9 : La Pompignane – Gare – Professeur Blayac
  • ligne 10 : Celleneuve – Gare 
  • ligne 11 : Blaise Pascal – Gare – Aiguelongue 
  • ligne 12 : Les Près d’Arènes – Gare – Grammont
  • ligne 14 : Hauts de Massane – Gare 
  • Petibus : Gare – Palais de Justice
  • ligne 17 : Montpellier Gare Routière – Palavas-les-Flots (Roquille)
  • ligne 18 : Montpellier Gare Routière – Lattes (Cougourlude)
  • ligne 20 : Saint-Jean-de-Védas Collège – Gare – Le Crès (Boulodrome) / Le Crès (Sauvagine)
  • ligne 21 : Montpellier Gare Routière – Vendargues (Gauguin)
  • ligne 22 :  Gare – Clapiers (Centre aéré) / Jacou (Piscine)
  • ligne 23 : Montpellier Gare Routière – Montferrier-sur-Lez (le Grand Fond) – Prades-le-Lez (les Baronnes)
  • ligne 24 : Montpellier Gare Routière – Grabels (le Stade) – Grabels (le Pradas) 
  • ligne 25 : Montpellier Gare Routière – Juvignac (Fontcaude)
  • ligne 26 : Montpellier Gare Routière – Saint-Jean-de-Védas (la Lauze)
  • ligne 27 : Montpellier Gare Routière – Maurin (Crédit Agricole)
  • ligne 28 : Montpellier Gare Routière – Pérols – Palavas (Roquille) – Palavas (Gare Routière)
  • ligne 29 : Montpellier Gare Routière – Baillargues (Collège)

Les thèmes de 1992 à 2000

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